Dans les Alpes comme ailleurs, les résultats obtenus confirment la légitimité de la politique de protection directe des cheptels. La mise en place d’un ou idéalement plusieurs moyens de protection fait baisser la pression de prédation.
Malheureusement ces techniques s’accompagnent de contraintes et difficultés dans leur mise en place et leur application quotidienne, jusqu’à les rendre parfois « insupportables » pour le berger ou l’éleveur qui en a la charge. Elles semblent par ailleurs atteindre leurs limites d’efficacité dans certains contextes encore mal définis.
Qui sommes nous ?
L’IPRA (Institut pour la Promotion et la Recherche sur les Animaux de protection) a été créé en 1997 par Jean-Marc Landry, biologiste et éthologue, à la suite du retour du loup en Suisse et l’introduction des premiers chiens et ânes de protection.
Son objectif ? Trouver des solutions adaptées pour permettre une cohabitation durable entre le pastoralisme et les carnivores.